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240301
48 Mitglieder der Académie der Parfaits Amants an Honoré d'Urfé
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48 Mitglieder der Académie der Parfaits Amants an Honoré d'Urfé


Beantwortet durch 250228.
29 hochadelige Damen und Herren der Schäferakademie und 19 Mitglieder niedrigeren Standes wenden sich an Honoré d'Urfé mit dem Wunsch, ihn als den Autor des geistvollen Romans L'Astrée selbst kennenzulernen und mit seinem Beistand ihre Heimat eines Tages so zu rühmen, wie d'Urfé es mit dem Lignon und dem Forez getan habe. Als Schauplätze der Schönheit und Keuschheit seien die Bücher der L'Astrée zum wichtigsten Ort ihrer Vergnügung geworden. Jedes Mitglied habe daher vor kurzem entsprechend seiner persönlichen Verfassung einen Namen und ein Kostüm aus dem Roman erwählt. So könnten die Mitglieder der Akademie als Schäfer in der Freiheit des Goldenen Zeitalters leben und sich getrennt oder auch gelegentlich zusammen bei den Treffen vergnügen, welche ihnen durch die Gnade des Allmächtigen noch mitten im Wüten des unmenschlichen Krieges vergönnt seien. — So sehr bewundert werde in ihrem Kreise der Stil, die Erfindung und die Methode, wodurch d'Urfés Werk alle über einen ähnlichen Gegenstand geschriebenen Bücher übertreffe, daß man mit übergroßer Freude den dritten Teil der Arbeit empfangen habe und nun d'Urfé wieder ungeduldig um Fortsetzung seines Romans bitte. Die Schäfer hätten die ersten Bände so oft gelesen, daß sie diese, gingen sie verloren, aus ihrem Gedächtnis wiedererschaffen könnten. || [251] D'Urfé möge niemals aufhören zu schreiben — ihr Verlangen nach mehr Lesestoff gleiche dem unersättlichen Hunger Erysichthons bei Ovid . — Nur das Vertrauen auf d'Urfés Höflichkeit veranlasse die Schäfer zu der Bitte, er möge in ihrem Kreise den Namen Céladon annehmen. Unter ihnen gleiche keiner Céladon, d'Urfés Leben entspreche jedoch, wenngleich es auch nicht Céladons Verhalten auf dem Frontispiz des ersten Teils nachahme, der Idee dieses Hirten. Wiese d'Urfé den angebotenen Namen zurück, wüßten sie Céladon zu ihrem Kummer nicht anderswo auf Erden zu finden. Als Schäfer, Edelleute, Nymphen und Schäferinnen d'Urfés hätten sich die Unterzeichneten ihres Ranges und Standes begeben und in Erwartung einer günstigen Antwort entschlossen, das Lob des Autors noch weiter zu verbreiten und an der Spitze seiner Bewunderer aus vielen Nationen ihm ihre Freundschaft und Dienstwilligkeit zu bezeugen.

Beschreibung der Quelle

Q[Kupfertitel:] L'ASTREE | DE MESSIRE | HONORÉ D'URFÉ. | Cinquiesme |
partie. | avec | Privilege du Roy. | Chez Robert Fouet. rue S.t Iacque au Temps et à L'Occasion. - [Drucktitel:] L'ASTREE, | De Meßire | Honoré d'Vrfé, | MARQVIS DE VEROME, | COMTE DE CHASTEAU-NEUF, | BARON DE CHASTEAUMO | RAND, CHEVALIER DE | L'ORDRE DE SAVOYE. | OU | Par plusieurs Histoires, & sous per- | sonnes de Bergers, & d'autres, sont de- | duits les divers effects de l'hon- | neste amitié. | CINQUIESME PARTIE. | Dediee par l Autheur à quelques-uns des | Princes de l'Empire. | [Holzschnitt-Zierstück] | A PARIS, | Chez ROBERT FOÜET, ruë sainct | Iacques, au Temps & à l'Occasion, | devant les Mathurins. | [Linie] | M. D C. XXV. AVEC PRIVILEGE DU ROY. Bl. ;؛; 5r - ;؛; ;؛; v. — ULB Halle: Dl 5361b (Erstdruck). — Text nichtkritisch wiedergegeben u. a. bei Maurice Magendie: Le premier des grands romans français, L'Astrée. Analyse et extraits. Paris 1928, 304-308. — Zur Handschrift M s. K 1.

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LETTRE Escritte à l'AVTHEUR.1

MONSIEVR,a

CEsb lignesc que vous jugerezd aisément n'estre point escrites,e ny encores moins conceuësf par ceux de vostre nation, vous tesmoigneront d'abbord,g le désir &h la curiosité de quelques Estrangersi , desquels la premiere ambition est de vous cognoistrej aussi bien de veuë,k qu'ils vous cognoissentl desia,m par ce rare &h divin esprit,n qui esclatte en chasqueo fueillep , voireq mesme en chasque ligne de vos inimitables œuures.r [(;؛; 5)v] La seconde de pouvoir faire autant paroistre uns iour, les plaisantes rivieres & contrees de leur pays,t sous vos Auspices, que la riviere du doux coulant Lignon & lau Province de Forests 2 se sont relevees depuis vos beaux escritsv : ausquels seuls l'une &h l'autrew doiuent advoüer qu'elles sont obligees de leur gloire, & de leur vie, de mesme que nous tousx , de nos premiers &h meilleurs contentements:y puisque nous ne croyons point que nous en puissions recevoir, qu'entant que ces magnifiques theatres de beauté, & de chasteté, (c'est à dire vos livres d'Astree)z nous en donnent. Aussi a-ce esté à cette seule consideration que nous avons depuis peu changé nos vrais noms, apres en avoir autant fait de nos habits, en ceux de vos ouvrages que nous avons jugé les plus propres & les plus conformes aux humeurs, actions, histoire, ressemblance presupposee, parenta-[(;؛; 6)r]ge d'un chacun & chacune d'entre nous,3 pour pouvoir cy-apres tant plus doucement, & avec cette mesme || [252] liberté, que nous voyons comme au vieux siècle d'or, reluire en la vie, & aux actions de vos gentils Bergers & gratieuses Bergeres, nous entretenir seuls en nos pensers, absents les uns des autres, & nous resiouïr nous trouuans par fois ensemble aux festins, & aux assemblees que les fureurs de nos guerres, helas, par trop inciviles, nous ont encores jusques icy par la grace du Tout-puissant permises. Vous pouvez penser, Monsieur, que cela ne se fait jamais que nous n'honorions quant & quant vostre memoire & vos merites, & que nous n'advoüions estre infiniement obligez de nous avoir fourny une si digne matiere d'honneste resiouïssance, mesme parmy tant de troubles & tant d'allarmes, dont nostre patrie, s'en va estre quasi de tous costez acca-[(;؛; 6)v]blee. C'est lá, où l'un admire le beau style, l'autre les subtiles inventions, & un autre la singuliere methode dont vous surpassez tous ceux qui se sont meslez d'escrire en semblable subjet devant vous. Il ne se peut dire de quel excés de joye nous avons esté ravis, lors que nous avons veu, & eu entre nos mains la troisiesme partie de vostre Astree,4 vous estes l'unique qui en peut comprendre l'infinité, & faire conjecture de l'impatience avec laquelle nous en attendons la suitte. Nous ne nous croyons pas moins curieux que ceux de vostre nation: & nous ne voudrions point aussi estre estimez moins libres, mesmes envers ceux desquels la courtoisie cognuë, ne nous peut faire craindre aucun refus. C'est donc, Monsieur, en cette asseurance, que nous vous supplions bien fort, & vous conjurons par la grandeur des merites de cette Astree, que vous nous [(;؛; 7)r] avez si bien sceu depeindre, & quasi enflammez d'aimer, & suivre les vertus & dont la gloire vous survivra à vostre souhait, aussi bien qu'au nostre, autant de siecles, que le subjet qui l'a fait naistre, vous survivra en vous accompagnant jusques au cercueil: qu'il vous plaise nous faire veoir le plustost qu'il vous sera possible, la suitte de cette belle Histoire, & ce tant plus que nous avons desia tant de fois, & avec tant d'appetit, leu & releu les premiers Tomes, que nous les sçavons quasi tous par cœur, du moins nous nous faisons forts (s'ils estoient par mal-heur perdus au monde) de les pouvoir rassembler & mettre parmy nous par le moyen de nos memoires occupees à ce seul subjet, & qui jamais n'en sont lassees n'y rassassiees. Nous ressemblons en cela à l'Erisicthon d'Ovide5 , qui tant plus il mangeoit & tant plus se trouvoit affamé. C'est (pour vous dire ce qui en [(;؛; 7)v] est,) vne faim sans cesse, & vne soif qui ne se pourra jamais estancher, laquelle nous travaillant sans relasche, nous fera vous importuner tant que vous vivrez au monde & nous aussi, à ce que ne cessiez jamais de continuer vos nompareilles inventions, & agreables discours, tant nous en sommes esgalement amoureux & insatiables. Nous nous sommes grandement hazardez en ce que sans vous avoir jamais en rien obligé, voire sans vous cognoistre, ou estre cognus de vous, nous nous sommes tant emancipez, que de vous rechercher de cette continuation, & de nous promettre desia, d'obtenir de vous toutes nos pretentions. Neantmoins la cognoissance que nous avons de vostre courtoisie nous donne suject de passer encore plus outre, & de vous prier (puisque parmy tous ceux de nostre qualité & cognoissance, nous ne croyons point trouver un Cela-[(;؛; 8)r]don tel que celuy que vous nous representez dans vos livres,) que vous daigniez nous faire la faveur de prendre ce nom, & de permettre que || [253] d'ores-en-avantaa , nous honorions un Vrfé comme Celadon parmy nous, & un Celadon qui jamais ne fut veu, comme un Vrfé present. Nous nous sommes tousiours imaginez jusques icy que vostre humeur & vos actions approchoient de si prés celles de Céladon que si ce n'estoient elles-mesmes (ce que nous n'oserions soustenir puisque l'instruction que vous donnez à la Bergere Astree au frontispice de vostre premiere partie6 s'y oppose manifestement,) nous les deussions pour le moins croire semblables. Cela estant nous n'aurons pas besoin d'user de grandes persuasions pour vous faire accepter le nom d'une personne dont vostre vie ne represente pas moins l'idee qu'on la peut lire en vos escrits. Si pourtant nous [(;؛; 8)v] nous sommes abusez en cette creance, & que nous n'ayons deu approfondir ce que vous avez si dextrement sceu desguiser, considerez à quelle extremité nous portera le desplaisir que nous aurons de n'avoir pû trouver dans tout le monde le vray Celadon que nous avons tant cherché. Obligez-nous donc Monsieur, d'adjouster aux contentements infinis, que vos premieres parties, nous ont desia donnez, celuy que nous attendons de leur continuation, & de l'acceptation que vous ferez du nom de Celadon. C'est la faveur qu'esperent de vous ceux, & celles-là, qui en la seule consideration de vos œuvres & de vos merites, se sont comme vos gentils Bergers, braves Cavaliers, excellentes Nymphes & gratieuses Bergeres, despouïllés de leur serenissimes, tres-illustres & tres-nobles tiltres & qualitez, pour prendre les noms & par fois les habits [;؛; ;؛; r] qu'ils ont jusques à cette heure trouvez dans vos livres inimitables: & qui en cette attente, & pendant qu'ils tascheront d'estendre plus loin vos loüanges (s'il reste quelque lieu qui n'en soit desja remply) se publieront pardessus tous autres de quelque nation qu'ils soient,

Vos plus affectionnez, amis & amies,a7

HASEMIDE, THEUDELINDE, GALATHEE,8 INGRANDEab , CLIDAMANT,9 PARTHENOPE, ALARIC, ADAMAS,10 BLISINDE, AMIDOR, DIANE,11 HYLAS,12 CELIDEE,13 MEROVE,14 METHINEac ,15 RITHYMER,16 SYLVIE,17 ARISTANDER,18 PHILLIS,19 PLACIDIE, DAPHNIDE, MADONTHE,20 LAONICE, RENAUT,21 CIRCENE, CLARINE,22 AIMEE, ASTREE, DORINDE. [;؛; ;؛; v]

Et vos plus humbles serviteurs & servantes,a

LISIS, CLEONTINE, ALCIPPEad ,23 PALINICE,24 CELION,25 BELLINDE,26 SYLVANDRE,27 SYLERE, GUYEMANTS, MELIDE, MERIL,28 CLEON, CELIDAS, CARLIS, PARIS, CLARINTHE, AMINTOR, DORIS, ADRASTE.

Du Carfour de Mercure,29 ce 1. du mois de Mars, 1624.a

Textapparat und Kommentar


Textapparat
T
a Kursiv.
b C als Holzschnittinitiale. Der restliche Brieftext in Antiqua.
c M lignes,
d M jugerés
e M Folgt moins
f M conceues
g M d'abord
h M et
i M estrangers
j M connoitre
k M veue
l M connoissent
m M déja
n M esprit
o M chaque
p M feuille
q M folgt ligne,
r M œuvres; la seconde de || [254] pouvoir
s M un jour les rivieres et contrées
t M Folgt moyennant vostre permission et faveur particuliere, que la riviere
u M Folgt province de Forez se sont relevés
v M ecrits,
w M Folgt doivent avouer leur gloire et leur
x M Folgt nos
y M contentements,
z M d'Astree)
aa M ores en avant
ab Fälschlich INGIANDE
ac Fälschlich MECHINE
ad Fälschlich ALCIPFE

Kommentar
1 Der Brief wurde Honoré d'Urfé von Adolph v. Börstel (PA) mit einem Begleitschreiben (240400) übersandt. Als gesiegelt bezeichnet v. Jean-Marie De La Mure: Histoire généalogique de la Maison d'Urfé en Forez. In: Auguste Bernard: Les d'Urfé. Souvenirs historiques et littéraires du Forez au XVIe et au XVIIe siècle. Paris 1839, 63. Nach dieser Quelle war die Urkunde mit 48 Siegeln und Unterschriften noch in der zweiten Hälfte des 17. Jahrhunderts im Archiv der d'Urfé erhalten. De La Mure , 64 zitiert den Anfang des Briefs in einer stilistisch etwas vereinfachten Fassung. (M). Unser Textapparat (T) führt alle Abweichungen von der Fassung De La Mures auf und läßt nur die von der graphischen Konvention bestimmten Schreibweisen i/j und u/v und die Auflösung von Abkürzungen innerhalb eines Worts unberücksichtigt, da vermutliche Vereinfachungen, Auslassungen oder ,Verbesserungen' des Originals in Bernards Ausgabe nicht in jedem Fall mit Gewißheit zu bestimmen sind. Nachforschungen nach dem Verbleib des Schriftstücks verliefen ergebnislos. Auch eine Anfrage bei La Diana, Société historique et archéologique du Forez (Montbrison), führte nicht zu dem gewünschten Resultat. Vgl. 231206 K 12 u. Barthold, 139.
3 Anspielung auf die Gründung der zuerst in 231206 als Astrealische Gesellschaft umschriebenen PA. Vgl. 190322 K 3. 221223. 240109 K 11, 240112, 240400, 240718, 250228, 250305, 250500, 250514, 260000, 260000A, 260500 u. 281000.
4 In F. Ludwigs Bibliothek fanden sich 1650: „Histoire de l'astree d'honoré urfé en 6 parties i Lion 1619" und „Histoire de l'astree la trosiesme partie absonderlich verhand." (IP 270r). Das erste Werk, das im Katalog Ludwigs wohl unter einem veränderten Titel genannt wird, dürfte umfaßt haben: L'ASTREE DE Messire HONORE D'VRFÉ Premiere partie. Dernière Edition reueuë & augmentée par l'Autheur. (Lyon 1619: Simon Rigaud) Jürgensen, Nr. 17 [wegen des unten in Anm. 6 erwähnten Titelkupfers eher als L'Astrée DE MESSIRE HONORÉ d'VRFÉ Premiere Partie. (Lyon 1619: Claude Morillon), Nr. 16]; eine der beiden mit dem ersten Teil wohl zusammen erschienenen Ausgaben der Seconde Partie der genannten Drucker [Nr. 57 bzw. 56]; einen der frühen Drucke des 3. Teils, L'ASTREE DE MESSIRE HONORÉ D'VRFÉ. Troisiesme partie. (Paris: Olivier de Varennes 1619) [Nr. 91], die Ausgabe Paris: Tovssainct dv Bray 1620 [Nr. 92] oder ebd. 1621 [Nr. 93]; einen der vielen Drucke des zuerst in Paris: veufve Olivier de Varenne 1624 [Nr. 115] erschienenen Fragments des 4. Teils, hg. v. Gabrielle d'Urfé; außerdem die fälschlich als Cinqviesme Partie ([Nr. 147-151] s. Abschn. Q) und Sixiesme Partie ([Nr. 152-157] s. 260000 u. 260000A) bezeichnete ergänzende Ausgabe, bearb., erw. u. erg. v. Marin Le Roy de Gomberville. Es fehlte also damals in F. Ludwigs Bibliothek ein Exemplar der textlich verschiedenen Ausgabe des gesamten Teils, die d'Urfés Sekretär Balthasar Baro 1627/28 zusammengestellt und vielleicht auch ergänzt hatte: LA VRAYE ASTREE DE MESSIRE HONORÉ D'VRFÉ QVATRIESME PARTIE. (Paris: Tovssainct dv Bray 1627) [Nr. 127; vgl. Nr. 128-129]. Auch Baros Vollendung des geplanten 5. Teils nach Entwürfen d'Urfés befand sich nicht in Ludwigs Sammlung: LA CONCLVSION ET DERNIERE PARTIE D'ASTRÉE PAR LE Sr BARO (Paris: François Pomeray 1628) [Nr. 158]. Angesichts des Interesses der PA und der örtlichen Nähe Anhalts zu Halle a. d. S. erstaunt es noch mehr, daß die Bücherei nicht (mehr?) die seit 1624 erschienene umfänglichste Verdeutschung des französischen Romans durch Carl || [255] d. J. v. Barth enthielt: Die Schäfferinn Astrea. Durch H. Honorat. von Vrfe erstlich in Frantzösisch beschrieben: Jetzo newlich Jn hochteutzsche Sprach versetzet/etc. Erster Theil. (Hall in Sachsen: Michael Oelschlegel 1624) [Nr. 203]; Ander Theil (Ebd. 1625) [Nr. 205]; Dritter Theil (Ebd. 1625) [Nr. 206]; Vierdter Theil (Leipzig: Elias Rehefeld 1632) [Nr. 207]. Im Nachlaßverzeichnis F. Ludwigs findet sich aber die Eintragung: „Erster Theil Astrea undt Celedorus liebe 2 Theil." (IP 283r). Sie verweist auf Johann Balthasar Burckhardts Übersetzung: Von der Lieb. ASTRӔ vnd CELADONIS Einer Schäfferin vnd Schäffers. (Paul Ledertz 1619: Mümpelgart Jacob Foillet) [Nr. 202]. Andere Werke d'Urfés sind nicht in F. Ludwigs Verzeichnis aufgeführt. Vgl. Kat. Dessau BB 11216-11217: „L'Astrée [...] II parties, à Paris, 1610, 1624, Math. Hénault. 2 Bde. 8°" (verschollen).
5 Erysichthon, Ov. met. 8, 738-878.
6 Auf den Frontispizen der vielen Ausgaben des ersten Teils stehen Céladon und Astrée meistens beiderseits des Titels einander gegenüber. Der Hirt scheint Astrée mit erhobenem Zeigefinger eine Lektion zu erteilen. Vgl. auch die Ausgabe Lyon 1619: Simon Rigaud (s. Anm. 4). Auf dem Titelkupfer der Ausgabe Lyon 1619: Claude Morillon (s. Anm. 4) schauen die beiden Gestalten zum Himmel (Juno mit Pfau, Apollo mit einer Fackel und einem Schleier, d. i. wohl Wahrheit und Lüge) empor, woher sie aus den Händen Cupidos jeweils einen Kranz empfangen.
7 Die Trennung einer Gruppe von Freunden von der folgenden Reihe von Dienern kann als Hinweis auf den Stand der Unterzeichneten gewertet werden. Andere Schreiben, welche PA-Namen zu entschlüsseln erlauben (s. Anm. 3), bestätigen die Annahme, daß es sich in der ersten Gruppe um Mitglieder fürstlichen Standes handelt — denen sich unter den Nichtidentifizierten vielleicht auch Angehörige des Grafen- oder Herrenstandes zugesellten —, in der anderen jedoch um Adlige niedrigen Standes, vielleicht auch um einige Gelehrte oder bürgerliche Hofbeamte und deren weibliche Angehörige.
8 Mgfn. Dorothea v. Brandenburg (1596-1643), Schwester Hz. Friedrich Ulrichs v. Braunschweig-Wolfenbüttel (FG 38) u. Gattin des Adamas. Vgl. 240718.
9 Im Roman auch Clidaman geschrieben. Pgf. Ludwig Philipp v. Simmern (FG 97). Vgl. 240717 u. 240718
10 Mgf. Christian Wilhelm v. Brandenburg (1587-1665), Administrator des Ebt. Magdeburg, zu Halle. Gatte der Galathée. Vgl. 240718 u. 250514.
11 Lgfn. Juliana v. Hessen Kassel (1608-1628)? Tochter Lgf. Moritz' des Gelehrten (FG 80). Vgl. 231206, 240718 u. 250514.
13 Fn. Anna Sophia v. Anhalt- Bernburg (AL [1617?], TG 19). Vgl. 231206 u. 260500.
14 Mérovée, d. i. F. Ludwig , Gatte der Méthine. Vgl. 240112 K u. 240718.
15 Fn. Amoena Amalia v. Anhalt-Köthen (AL 1618, TG 2), Gattin des Mérovée. Vgl. 240112 u. 240718.
16 Rhitimer, d. i. F. Johann Casimir v. Anhalt-Dessau (FG 10), Bruder Renaults u. Gatte der Sylvie. Vgl. 240717 u. 240718.
17 Silvie, d. i. Fn. Agnesa v. Anhalt-Dessau (TG 25), Tochter Lgf. Moritz' des Gelehrten v. Hessen-Kassel (FG 80), Schwester des Hylas und der Diane, Gattin des Rhitimer.
19 Fn. Magdalena v. Hessen-Kassel (1611-1671)? Tochter Lgf. Moritz' des Gelehrten (FG 80), Schwester des Hylas, der Diane und der Silvie.
20 Madonte, d. i. Fn. Eleonora Dorothea v. Anhalt-Dessau (TG 4), Schwester Clarines, Renaults und Rhitimers, spätere Gattin Damons, d. i. Hz. Wilhelms IV. v. Sachsen-Weimar (FG 5, PA). Vgl. 240718 u. 250305.
21 F. Georg Aribert v. Anhalt-Dessau (FG 24), Bruder Clarines, Madontes u. Rhitimers. Vgl. 240717 u. 240718.
22 Fn. Kunigunde Juliana v. Anhalt-Dessau (TG 26), Schwester Madontes, Renaults und Rhitimers, spätere Gattin Lgf. Hermanns IV. v. Hessen-Rotenburg (FG 374). Vgl. 240718 u. 250305.
24 Wohl Juliana Ursula v. Krosigk , geb. (v. Peblis?). Vgl. 240718 u. 250305.
25 Tobias Hübner (FG 25)? || [256] Gatte der Bellinde. S. 240718 u. 250305.
26 Margaretha Hübner , geb. v. Lattorf, Gattin Tobias Hübners (FG 25). Vgl. 240718 I u. 250305.
27 Silvandre, d. i. Diederich v. dem Werder (FG 31). Vgl. 231206, 240718 u. 250305
29 Ort in L'Astrée, hier vielleicht auf Köthen bezogen. Vgl. 240109 u. Conermann II, 42 Anm. 21.
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