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Honoré d'Urfé an Mitglieder der Académie des Parfaits Amants
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Honoré d'Urfé an Mitglieder der Académie des Parfaits Amants


Antwort auf 240301. Vgl. 240400, 260000 und 260000A.
Erst ein Jahr nach seiner Abfassung habe d'Urfé das Schreiben einer großen Anzahl von Fürsten, Fürstinnen, Herren und Damen erhalten, in welchem ihn zu seiner Verwunderung diese hohen Angehörigen einer siegreichen und gelehrten Nation für ein in jüngeren Jahren geschaffenes Werk (L'Astrée) preisen und durch die Mitgliedschaft in ihrer weltberühmten Akademie ehren. Welche Gnade vor allem Verdienst, daß diese Fürsten sogar die Namen und Kostüme seiner Hirten angenommen haben! Wie Apollo den Herden des Admetos Hirtendienste geleistet habe, so sei auch Astrée erst durch göttergleiche Schäfer zu ihrer Vollkommenheit gelangt. Habe er einst beim Schreiben seines Werks Fürsten durch ihre Verwandlung in Schäfer ihres Glanzes beraubt, so sei der ihnen nun durch die Verwandlung von Schäfern in Fürsten zurückgegeben worden. Diese hätten sich damit verpflichtet, die Ehre der Astrée aufrechtzuerhalten. Mögen sie sich doch auch ihm zu erkennen geben! Er akzeptiere gehorsam den ihm angebotenen Namen Céladon und bringe ihnen den neuen Teil der Astrée und alle übrigen Schriften und Gedanken wie auf einem dem unbekannten Gotte errichteten Altar dar. Als Céladon, dem Vertreter reinster Liebe, gebühre es ihm, nicht nur den schäferlichen Umgang mit ihrer Akademie zu genießen, sondern auch seine verehrungswürdigen Gönner, die insgesamt seine Astrée seien, treu zu lieben. Von der Fama habe er künftig nicht mehr Ruhm zu fordern, da die Zufriedenheit seiner Förderer ihn genug belohne und außerdem dazu ansporne, ihnen mit der Fortführung der Schäfergeschichte zu gefallen. Sie werde unter ihrem Schutz und auch unter ihren Namen erscheinen — falls er dieselben erfahre. Wenn der Frieden zurückkehre, werde er die Feder wieder ansetzen und womöglich den Lignon in den schäferlichen Gefilden seiner Gönner zutage treten lassen. Darum beneide er den Fluß, zumal er selbst nicht einmal dorthin gerufen worden sei.

Beschreibung der Quelle

Q[Kupfertitel:] L'ASTREE | DE MESSIRE | HONORÉ D'URFÉ. | Cinquiesme | partie. | avec
| Privilege du Roy. | Chez Robert Fouet. rue St. Iacque au Temps et à L'Occasion. - [Drucktitel:] L'ASTREE, | De Meßire | Honoré d'Vrfé, | MARQVIS DE VEROME, | COMTE DE CHASTEAU-NEUF, | BARON DE CHASTEAU-MO- | RAND, CHEVALIER DE | L'ORDRE DE SAVOYE. | OU | Par plusieurs Histoires, & sous per- | sonnes de Bergers, & d'autres, sont de- | duits les divers effects de || [376] l'hon- | neste amitié. | CINQUIESME PARTIE. | Dediee par L'Autheur à quelquesuns des | Princes de l'Empire. | [Holzschnitt-Zierstück] | A PARIS, | Chez ROBERT FOÜET, ruë sainct | Iacques, au Temps & à l'Occasion, | devant les Mathurins. | [Linie] | M. D C. XXV. AVEC PRIVILEGE DU ROY. Bl. ;؛; ;؛; 2r - (;؛; 5)r. — ULB Halle: Dl 5361b (Erstdruck).

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RESPONCE
DE
L'AVTHEVR.



VNa an apres que vous m'avez eu fait l'honneur de m'escrire, vostre Lettre m'est tombee entre les mains:1 pour me faire cognoistre, à ce que ie crois, que le Ciel est tres-iuste de nous retarder les honneurs qui sont pardessus nos merites. Ce que je dis seulement àfin que l'annee qui s'est escoulee d'un mois de Mars à l'autre, ne me soit point imputee, à quelque manquement. Car je n'aurois pas demeuré si longuement à m'acquitter de mon devoir, & à tesmoigner le ressentiment que j'ay de l'honneur que vous m'avez fait, si plustost j'eusse receu ce gage de vostre bien-vueillancea, & de l'estime que vous daignez de faire de ce que j'escris. I'advouë que d'abord cette inesperee faveur m'a surpris, & comme ;؛; ;؛; 2v] nos yeux inacoustumez à une grande lumiere demeurent esblouïs, quand tout à coup ils sont atteints des plus clairs rayons du Soleil: de mesme je me suis de sorte trouvé confusb d'une grace si grande, & si peu attenduë que j'ay eu peine a me persuader que ce ne fust un songe. Mais, & qui n'en eust fait de mesme en recevant une lettre envoyee par un si grand nombre de Princes, & de Princesses, de Seigneurs & de Dames, d'un pays tant eslogné de celuy de ma demeure, seulement pour me tesmoigner l'estime qu'ils font de moy, & pour me donner un lieu si honnorable en la plus Auguste & celebre Academie2 de l'Univers? Il est vray que lisant cette lettre, j'ay cent fois dementy mes yeux, & me suis autant de fois demandé si le mal qui m'y est advenu depuis quelques mois ne me la faisoit point veoir autrement qu'elle estoit escritte, & non pas sans raison: car d'un costé ie voyois cet innocent ouvrage3 de mes plus tendres annees qui se presentoit devant mes yeux, tout tremblant de crainte & de doute de soy mesme: & de l'autre j'oyois le favorable jugement qu'en faisoient des personnes si relevees, d'une si eminente naissance pardessus le reste des hommes, & d'une nation encore, de qui la valeur & le courage ayant dés longtemps ostéc l'Empire aux Romains, dispute maintenant l'honneur des bonnes lettres avec ;؛; ;؛; 3r] tous les plus sçavants de la terre. De sorte qu'avec raison, j'en devois plustost craindre la censure qu'en attendre la loüange: Mais en cecy j'ay esprouvé que veritablement les Princes sont en terre les images vivantes des Dieux; des Dieux, dis-je, desquels la grace previent tousiours le merite, puis qu'il vous a pleu de devancer par les vostres, non seulement celuy de mes escrits, mais de toutes mes esperances. Et cette creance m'est demeuree encore plus entiere quand j'ay veu que pour vous rendre conformes à la façon de vivre de mes Bergers, vous avez voulu prendre leurs noms & leurs habits, puisqu'Apollon autresfois voulut bien garder les troupeaux d'Admete en cette qualité,4 & que || [377] presque tous les autres Dieux ont bien aussi quitté le Ciel pour vivre parmy nos Nymphes & nos Bergeres: & c'est bien veritablement à ce coup que je crois mon Astree estre parvenuë à sa perfection. Puis que tant de grands esprits voulans estre de sa bergerie, il est impossible qu'ils ne l'eslevent au plus haut degré ou elle puisse jamais monter. Si bien qu'au lieu que je soulois auparavant estre en doute des imperfections qui m'y estoient eschappees, maintenant asseuré de Bergers & de Bergeres de telle valeur, je ne puis plus douter qu'à jamais elle ne vive comme l'un des plus parfaits ouvrages des humains. Et en cette [;؛; ;؛; 3v] consideration je vois que la perfection de toute chose gist au retour qu'elled doit faire à son principe, puisque dés le commencement mes Bergers & mes Bergeres, ayans esté de grands Princes & de grandes Princesses, de tres-illustres, Seigneurs & Dames, maintenant vous leur redonnez le lustre que je leur avois osté, moy en les faisant Bergers, & vous en les rendant de Bergers & Bergeres, grands Princes & grandes Princesses, comme ils souloient estre. Puis donc que cette perfection leur vient de vous, comme vostre ouvrage vous estes tous obligez de le maintenir en l'honneur ou vous l'avez mis, & d'en faire vostre fait propre contre ceux qui le voudront ravaler du suprême honneur où vous l'avez eslevé. Mais à tant de faveurs qu'il vous a pleu me faire, est-il possible, que la derniere & plus necessaire pour m'acquitter de mon devoir me soit maintenant desniee? Ie sçay que les Dieux ne se veulent point laisser veoir aux yeux des mortels, & que l'imprudente Nymphe qui en eut la curiosité fut punie par Iupiter selon son merite:5 & que c'est peut-estre la raison pour laquelle vous m'avez caché vos noms sous ceux de Bergers: mais je sçay bien aussi qu'Enee obtint cette grace que sa mere luy osta la nuë des yeux qui l'empeschoit de veoir les Dieux parmy les ruïnes d'Ilion.6 Et pourquoy ne puis je esperer cette [;؛; ;؛; 4r] faueur de ceux qui m'en ont desia fait de si grandes, afin que je puisse dresser mes Autels, mes vœux, & mes sacrifices à ces Divinitez de la terre, qui sont mes Dieux Tutelaires? I'espere cette grace de vous, & en l'attendant pour ne retarder point d'avantage la recognoissance de ce que je vous dois, j'imiteray ce grand Empereur de qui la pieté dressa l'Autel au Dieu Incognu,7 & sur cet Autel je sacrifieray mon obeïssance, en recevant le nom de Celadon que vous me commandez de prendre, & en vous offrant non seulement cette partie d'Astree8 que vous me demandez, mais tous mes escrits & toutes mes pensees. Et je croy bien que ce n'a pas esté sans une bonne consideration, que vous m'avez reservé le nom de Celadon parmy vous, non pas que je le merite en la qualité que vous m'escrivez: mais parce que m'estant proposé, en la personne de ce Berger, de faire veoir la plus pure & la plus veritable affection qui fut jamais, il ne falloit pas aimer, honorer & reverer des personnes si remarquables & si pleines de merite que vous estes, avec une moins entiere ny moins parfaitte affection, que celle que ce nom emporte avec soy. Ie reiçoy donc grands Princes & Princesses, ce tiltre honorable que vous me donnez, non seulement pour joüyr sous le personnage de ce Berger, des fruits qui naistront d'une conversation si douce & d'une A-[;؛; ;؛; 4v]cademie si celebre que la vostre: Mais avec protestation que les services de cét Amant, ne furent jamais plus devotieusement n'y plus fidelement rendus à sa Bergere, que vous en || [378] donneront à l'advenir ma fidelité & mon affection. Vous serez tous ensemble mon Astrée, & je trouveray asseurement dans vos perfections tant de suject d'Amour, d'honneur, & de respect; que tout ce que Celadon endure dans mes livres, & en papier pour son Astrée, je le souffriray en effect par le desir qui ne mourra jamais en moy, de vous rendre à tous un tres-humble & perpetuel service: si bien que desormais je n'auray point d'entretien plus doux que la memoire de ce que je vous dois, & en cette pensee je ne demanderay plus à la Renommee la recompense de mes ouvrages, puis que vous m'asseurez qu'ils vous ont pleu, & cela sera cause que je m'efforceray de rendre telle la suitte de ces actions boccageres qu'elle ne dementira point son commencement: afin qu'elles ne diminuent rien du contentement que vous en avez receu. La suitte que vous me demandez va veoir le jour sous vostre protection, & ce seroit sous vos noms si j'en avois la cognoissance.9 Quand le bruit des canons cessera, & que la douceur de la paix nous ostera l'espee de la main,10 j'y remettray la plume, pour donner le repos aux desirs de mes Bergers, & peut-estre à la cu-[(;؛; ;؛; 5)r]riosité que cet ouvrage aura fait naistre en vous. Et cependant si selon vos souhaits, mon eher Lignon, à l'imitation de ce fleuve amoureux d'Aretuse,11 se peut trouver un passage par les entrailles de la terre pour s'aller rendre dans les lieux où se trouvent de si rares Bergers & Bergeres, je l'estimeray infiniement heureux de couler parmy des Provinces si fortunees que celles où de si grands Pasteurs commandent. Et ce sera bien alors, si j'ay jamais porté envie à quelque bon-heur que je seray envieux du sien, où pour le moins de n'estre point appellé, comme luy, auprés de vous, ausquels je jure par les serments qui me sont les plus saints, & les plus inviolables, que si je suis jamais si heureux que de cognoistre les veritables noms de ceux à qui j'ay une obligation si estroitte, je n'espargneray ny mon sang, ny ma vie pour leur tesmoigner que je suis,

Souverains Princes & Princesses, tres-Illustres Seigneurs & Dames.e

Vostre tres-humble, & tres-affectionnè serviteur.
Honoré Durfé .e

De Chasteau-Morand12 ce 10. Mars, 1625.

Textapparat und Kommentar


Textapparat
T
a V Holzschnitt-Initiale.
b coufus
c ostê
d quelle
e Zeile kursiv.

Kommentar
K Der Brief ist in der Quelle wahrscheinlich nach dem neuen Stil datiert, so daß er hier nach dem vorherrschenden alten Stil um 10 Tage früher eingeordnet werden mußte. Zur Bestimmung des Quellenwerts des Schreibens vgl. Anm. 8.
1 Der Brief von 48 Mitgliedern der PA wurde von Adolph v. Börstel (s. 240400) übersandt. Zum späten Empfang des Schreibens bzw. zu seiner verspäteten Beantwortung vgl. 240400 K 1.
2 Académie des Parfaits Amants. Vgl. 221223, 231206, 240112, 240301, 240400, 240718, 250305, 250500, 250514, 260000, 260000A, 260500 u. 281000.
3 D'Urfés Roman L'Astrée. Vgl. 240301 K.
4 Zur Strafe für seinen Mord an den Kyklopen mußte Apollo dem Admetos ein Jahr lang Hirtendienste leisten. Vgl. z. B. Verg. georg. 3, 2.
5 Hederich, 1437 erwähnt Jupiters Strafe an der plauderhaften Lara. In seinem Kommentar || [379] zu Stat. Theb. 4, 516 (s. unten Anm. 7) schreibt Lactantius Placidus , rec. R. Jahnke: „Etrusci confirmant nympham, quae nondum nupta fuerit, praedicasse maximi Dei nomen exaudiri ab homine per naturae fragilitatem pollutionemque fas non esse, quod ut documentis assereret, in conspectu ceterorum ad aurem taciti Dei nomen nominasse, quem ilico ut dementia correptum et nimio turbine coactum exanimasse.” Hat d'Urfé oder dessen unmittelbare Quelle nympha (Braut) falsch verstanden bzw. die Bedeutung zurechtgebogen? Da d'Urfé die Bedeutung im Französischen bereits erweitert und die großen Damen in seinem Roman als Nymphen bezeichnet hatte, hätte er auch diese Stelle argumentativ heranziehen dürfen. Dennoch mag die angeführte Passage d'Urfés Aussage nicht erläutern, da im franz. Brief der genannte Gott nicht eigentlich die Bezeichnung des Höchsten, sondern die Enthüllung der Götter bestraft.
6 Venus hält Aeneas von der Bestrafung Helenas ab, indem sie ihm die Zerstörung Trojas durch die feindlichen Götter zu sehen erlaubt. Verg. Aen. 3, 600ff.
7 In seiner Areopagrede sagt Paulus zu den Athenern: „Praeteriens enim, et videns simulachra vestra, inveni et aram, in qua scriptum erat: Ignoto Deo.” (Act. 17, 23). Hierzu schon die Kritik Hieronym. comment, in epist. ad Titum 1, 12: „Inscriptio autem arae non ita erat, ut Paulus asseruit ,ignoto deo', sed ,diis Asiae et Europae et Africae, diis ignotis et peregrinis'.” Dem literarischen Topos von den unbekannten (heidnischen) Göttern im Plural (Eduard Norden: Agnostos Theos. Untersuchungen zur Formengeschichte religiöser Rede. Berlin u. Leipzig 1913, 31 ff., 115ff.) steht im Singular sonst nur der unbekannte Gott der hellenistischen Zauberliteratur, der hermetischen und gnostischen Tradition gegenüber. Vgl. z. B. Hermetica. Ed. with English transl. by Walter Scott. 4 Bde. Boston 1985. I 458 (=Stob. I 385ff. Wachsmuth/Hense). S. auch Stat. Theb. 4, 516: „triplicis mundi summum, quem scire nefastum.” Vgl. RE Suppl. I, 27-30. Christliche Autoren deuten die Gottheit in den Acta allerdings auch als den christlichen Gott, z. B. Athanasius comment, de templo Athen., s. J. P. Migne: Patriologiae cursus completus, series Graeca, Bd. 28 (1886), 1427-1432. Nicht belegbar zu sein scheint d'Urfés Behauptung, daß ein Kaiser diesen Altar aufgerichtet habe, wenn nicht z. B. eine Übersetzung wie „imperator felicissimus” (ἀυτοπάτωϱ τϱισόλβιοϛ). — im Text des Athanasios als Bezeichnung Christi — mittelbar als Quelle diente.
8 Da d'Urfé die Veröffentlichung eines Fragments des 4. Teils des Romans (1624) durch Gabrielle d'Urfé nicht billigte (Jürgensen, 82), veranlaßte er die Publikation des ganzen Teils durch den Verleger Robert Fouet . Dieser brachte jedoch erst nach dem Tode des Autors (1. 6. 1625 n. St.) eine von Marin Le Roy de Gomberville bearbeitete, erweiterte und um vier Bücher ergänzte Teilausgabe als Cinqviesme Partie u. Sixiesme Partie (s. 260000) heraus (Privileg des sog. 5. Teils v. 10. 7. 1625 n. St.), die den Text des Fragments aussparte. Der Ausdruck „cette partie d'Astree" bezieht sich also wohl auf eine in der geplanten Form nicht erschienene Ausgabe Fouets . Die vollständige, von den vorgehenden Texten stark abweichende Fassung des vierten Teils edierte erst 1627/28d'Urfés Sekretär Balthasar Baro (vielleicht mit eigenen Ergänzungen). Vgl. Bernard Yon: Mais qui était Borstel? In: Mélanges offerts à Georges Couton. Lyon 1981, 137-146, hier S. 143; ders., in: Marin Le Roy de Gomberville: L'Astrée de Messire Honoré d'Urfé. Sixiesme Partie. Sainte-Etienne 1976, 7ff. Weniger wahrscheinlich, wenn auch nicht auszuschließen ist die Möglichkeit, daß d'Urfé seinem Schreiben das Exemplar der damals allein schon erschienenen Ausgabe von Gabrielle d'Urfé beilegte, das sich 1650 offenbar in F. Ludwigs Bibliothek befand. S. 240301 K 4.
9 Eine Entschlüsselung der Gesellschaftsnamen durch die PA ist unbekannt. Vgl. die Widmungsbriefe zum sog. sechsten Teil der Astrée (Fouet): 260000 u. 260000A.
10 D'Urfé brach kurz danach auf, um im Kriege Frankreichs und Savoyens gegen den Papst und Spanien für die Kontrolle über das Veltlin zu || [380] streiten. Während dieses Feldzugs starb er.
11 Die Nymphe Arethusa flieht vor dem Flußgotte Alpheus (Alpheios) von Griechenland unter dem Meere bis nach Sizilien , wo sie auf der Insel Ortygia als Quelle ans Licht tritt. Vgl. z. B. Ov. met. 5, 573-641.
12 In Châteaumorand (Saint-Martin d'Estréaux, Loire), dem Schloß seiner Gattin — von der er sonst getrennt lebte —, hielt sich d'Urfé in seinen letzten Lebensjahren wiederholt auf. Vgl. O.-C. Reure: La vie et les œuvres de Honoré d'Urfé. Paris 1910, Kap. 17.
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