Text

390909 Freiherr Enno Wilhelm von Innhausen und Knyphausen an Fürst Ludwig
[Inhaltsverzeichnis]
|| [280]

390909

Freiherr Enno Wilhelm von Innhausen und Knyphausen an Fürst Ludwig


Antwort auf 390814. — Der Bote, der F. Ludwig das vorliegende Schreiben Frh. Enno Wilhelms v. Innhausen u. Knyphausen (FG 238. Der Verfolgende/ Le Poursuivant) bringt, hatte Innhausen schon den letzten Brief des Fürsten (390814) übergeben. Innhausen bedankt sich, daß der Fürst ihn im voraus für sein langes Schweigen entschuldigt und ihm die Verdeutschung F. Ludwig: Tamerlan (1639) geschenkt habe. Er schickt Ludwig daher eine Beschreibung des Reichs des Großmoguls ([Jan de Laet]: DE IMPERIO MAGNI MOGOLIS. 1631), des 10. direkten Nachfahren Tamerlans. Der britische Gesandte (Sir Thomas Roe), der als Resident in Hamburg lebe und selbst fünf Jahre am Hof des jetzigen Großmoguls verbracht habe, berichte dies. Außerdem sendet Innhausen F. Ludwig wie gewünscht eine Abschrift der Namen der fruchtbringenden Akademiemitglieder und bittet zugleich um Mitteilung der Namen der seitdem aufgenommenen. — Martin Opitz (FG 200) ist vor kurzem in Danzig unter allerseits großem Bedauern gestorben, wie Innhausen vom polnischen Gesandten (Krzysztof Korwin Gosiewsky) erfahren hat. Der ist mit großem Gefolge durch Hamburg gekommen, um über Holland nach Frankreich zu reisen, wo er um die Freilassung des poln. Prinzen (Johannes II.) Casimir werben soll. — Der dänische König (sei nicht erkrankt, sondern) platze geradezu vor Gesundheit. — Gf. Otto V. v. Holstein-Schaumburg (FG 198), der sich gegenwärtig bei Innhausen aufhalte, müsse sich mit Gottes Hilfe und dem Rat F. Ludwigs gegen den Griff des Königs nach der Gft. Holstein (Pinneberg) vorsehen, zumal (Gf. Ottos) Kanzler Anthon v. Wietersheim (FG 273) und andere Gläubiger diesem schon die Ansprüche der Witwe F. Ernsts v. Holstein-Schaumburg an Gf. Otto abgetreten hätten. Der Graf begreife überhaupt nicht, in welcher Gefahr er sich befindet. — Innhausen und seine Frau wünschen F. Ludwigs Gemahlin || [281] Gottes Hilfe zu ihrer Genesung. — Der Kommandant von Wismar belagert die Festung Dömitz. Die Armee des Herzogs v. Bayern hat den Rhein überquert. Man vermutet, daß die von den Franzosen unterstützten Truppen des verstorbenen Hz.s Bernhard v. Sachsen-Weimar (FG 30) stark genug für eine Schlacht sind. Die angeblich jetzt dem französischen König gehörige Stadt Breisach verursacht vermutlich Mißstimmungen zwischen den verbündeten Franzosen und Schweden. — Mgf. Siegmund v. Brandenburg (FG 308) hält sich mit großem Gefolge in Hamburg auf. Er wird den brandenburg. Kurfürsten in den klevischen Landen als Statthalter vertreten. Einige Mitglieder aus seiner Suite haben Innhausen aufgesucht und zwingen ihn nun, sein Schreiben an F. Ludwig zu beenden.

Beschreibung der Quelle


Q LHA Sa.-Anh./ Dessau: Abt. Köthen A 9a Nr. 87b, Bl. 71r–72v [A u. Empfangsvermerk: 72v]; eigenh. — D: Tlw. in Opitz: BW 390909 rel.

Anschrift


A A Mon Seigneur MonSeigneur Louys Prince d’Anhalt, Comte d’Ascanie, Seigneur de Zerbst et Bernburg etc. Cöthen.
Eigenh.Empfangsvermerk F. Ludwigs: Pres. 19. Septemb. 1639.

Text


MonSeigneur et Prince,
J’ay reçeu par le porteur de la presente les tresgracieuses lettres dont il a pleu à V. A. ma favoriser, et me prevenir touchant les excuses de mon trop long silence, ie l’asseure que ce n’a pas esté par manquements de ma devotion, mais par les empeschements dont elle mesme faict mention. En oultre ie rends graces infinies à V. A. que pour le comble des ses graces elle m’a voulu faire part dea la traduction de l’histoire de Tamerlan1 en nostre langue vulgaire, Et puis que i’ay trouvé icy un livret ou description du Royaume du Grand Mogol2 , lequel domine entre les fleuves d’Indus et Ganges, dont le Roy à present regnant est le dixiesme nepveu en ligne droicte descendente de la race de Tamerlanes, selon l’attestation deb l’Ambassadeur de la Grande Bretagne3 resident en ceste ville, lequel en qualité d’Ambassadeur a demeuré cincq ans à la Court du dict Grand Mogol, j’ay pensé qu’il ne seroit desagreable à V. A. et en ceste consideration ie l’envoyé icy ioinct, comme aussi la copie des noms des Academiques fructifiants4 , selon qu’elle a desiré, et serois, tresaisec s’il plaisoit à V. A. me faire participant des noms des nouvellement et depuis reçeus. Quant à Opitius5 il est n’a gueres trespassé et enseveli à Danzich, grandement regretté des touts, selon que m’a racconté le Waiwode ou Palatin de Smolensko6 , Ambasssadeur du Roy de Poulogne7 , lequel avec une suyte de 60 personnes passe d’icy par Hollande en France, pour solliciter la delivrance du Prince Casimir8 , [71v] Touchant le Roy de Dennemarque9 il creve de santé ne sçachant d’aucune maladie, Pleust à Dieu que le Comte de Schawenburg10 , (lequel maintenant est chez moy) se puisse guarentir contre les continuellés menées de Sa Majte pour empieter sur son Estat, et se trouvent lesd affaires en tels térmes, que si Dieu n’y pourvoit ou que parte le bond conseil de V. A. on n’ye apporte quelque remede, le Roy se mettra en possession de la Comté d’Holstein et en suyte selon toute apparence s’en rendrà tout à faict mettre, ou ne le rendra sans des conditions fort dures et desavantageuses, f ayant Sa Majte desia se faict ceder les pretensions des debtes de Madame la Vuefue du feu Prince Ernest11 etc. du Chancelier Witersheim12 et des plusieurs aultres Crediteurs du Comte. Ce || [282] sont les fruicts des Conseils que quelques uns ont donné, pour mettre les Crediteurs en desespoir, et le reduire à ces extremitez. Le coeur me tremble, quant ie songe au peril, ou MonSr le comte se trouve, et le pire est qu’il me semble qu’il n’a point le sentimentg de son mal, ce que le rend presques incurable. J’entends par celle de V. A. avec grand regret l’indisposition de Madame la Princesse sa ConSorte13 , et ma femme14 et moy nous recommendants à ses bonnes graces, souhaittons devotieusement, que le bon Dieu, par sa grace la veuille guerir et remettre en bonne santé et disposition. Pour nouvelles il n’y a gueres en ces Quartiers, excepté le siege de Dömitz, par le Comendant de Wismar, dont on attend l’issue.15 L’Armée du Duc de Baviere16 estant passée le Rhin, et l’Armée du feu Duc de Weimar17 ayant receu le secours de[s] François, on presume qu’ils pourroit donner bataille, Cependant on n’est hors d’apprehension que la ville de Brisach, la quelle le Roy de France pretend appartenir à luy, ne donne quelque mescontentement entre les deux Couronnes Confederez. Le Marquis Sigis-[72r]mund de Brandenburg18 est maintenant en ceste ville avec une suyte des 120 personnes, et va d’icy au pays de Cleves, pour y resider en qualité de Lieutenant de l’Electeur. Et quelques uns de sa suyte me venants voirh oultre aultres interruptions, me contraignent de finir la presente, et me recommendant aux bonnes graces de V. A. ie la supplie de me permettre le tiltre,
   De V. A. le treshumble et tresobeïssant serviteur.

   le poursuyvant

D’Hambourg ce 9. de Sept. 1639.

I

Französische Gesellschaftsnamen der Mitglieder der Fruchtbringenden Gesellschaft

Beschreibung der Quelle


Q LHA Sa.-Anh./ Dessau: Abt. Köthen A 9a Nr. 167, Bl. 9r‒11v, 11v leer: Schreiberh. FG 1‒317 mit Zusätzen von F. Christians II. H.; eigenh. von F. Christian II. v. Anhalt-Bernburg (FG 51) [zit. Ch] fortgesetzt: FG 318‒339; Bl. 11r beiliegend Liste der dt. u. französ. Gesellschaftsnamen: FG 324‒353, Schreiberh.

Text


Les Noms des Accademiques Fructifians. en François.a
1. Le Farineuxb 1
2. Le Nourrissant.
3. Le Germant.
4. L’Esperant.
5. Le Savoureux.
6. Le Sugueux.c
7. Le Bien pourvenant.
8. Le Nettelet.
9. L’Odoriferant.
10. Le Penetrant.
11. Le Vigoureux.
12. Le Souef.
13. L’Engraissé
14. Le Droict.
15. Le Distribuant.
16. L’Enfumant, Perfumant.d
17. L’Jrrespectable, L’Jnestimé.e
18. L’Enflambé, L’Embrasé.
19. Le Doux Amer.
20. Le Guerissant.
21. Le Lent.
22. Le Gluant.
23. L’Augmentant.
24. L’Affable.
25. L’Utile
26. Le Desirable, Le Desirant.
27. L’Amiable.
28. Le Refrigerant, Le Rafroidissant,f || [283]
29. Le Roborant.
30. Le Dessechant, L’ Assechant.
31. Le Moultgrainé.
32. Le Purifiant.
33. L’Estendant.
34. L’Esiouissant.
35. Le Verd.
36. Le Roide.
37. Le Paisible
38. Le Perdurable.g
39. L’Allechant.
40. L’Herissonnant. L’Herrissableh
41. L’Amer.
42. Le fort poussant.
43. Le Fermant.
44. Le Fidele.
45. Le Fleurissant.i
46. Le Victorieux,
47. Le Biengardé.
48. Le Bruslant.
49. L’Eschauffant.
50. Le Constant.
51. L’Jnvariable.
52. Le Sain.
53. L’Operant.
54. Le Corroborant.
55. L’Aydant.
56. Le Sur.j
57. Le Bienaimé.
58. Le Merveilleux.
59. Le Refrechissant.
60. Le Tres salutaire.
61. Le Sec.
62. Le Prouverdoyant.
63. Le Pressurè.k
64. Le Gracieux.
65. Le Chatouilleux.
66. Le Lenitif.
67. Le Nettoyant.
68. L’Jncitant,l
69. Le Commode.
70. Le Servant.
71. Le Comportable.
72. L’Jnquittable. m
73. Le Haut poussant.
74. L’Entortillant.
75. Le Haut teindt.n
76. L’Jndommageable.
77. L’Allegerissant.
78. Le Hastant.
79. Le Defendant.
80. Le Bien Nommè.
81. Le Bien couvert.
82. Le Fervent.
83. L’Esprouvé.
84. Le Chassant.
85. Le Grimpant.
86. Le Pourvenant.
87. Le Meur,o 1
88. Le Bon.
89. L’Esmouvant.
90. L’Appaisant.
91. L’Espiçant.
92. Le Teignant.
93. Le Dechassant.
94. Le Fort Syrinquant.
95. Le Destournant.
96. Le Repoussant.
97. Le Dangereux.
98. Le Meurissant.
99. Le Beau.
100. L’Orangé.
[9v]
101. Le Seur.
102. Le Doux.
103. L’Aride.
104. Le Viste.
105. Le Duisant.
106. Le Recreant.
107. L’Jnstigant.
108. L’Enserré
109. L’Acherant. L’Attachant.
110. Le Long.
111. Le Conservant.
112. Le Prosperant.
113. L’Arrousé.
114. Le Tempretard.
115. Le Durant, Le Permanent.
116. Le Rond
117. L’Acceptable.
118. Le Addoucissant.
119. L’Esteignant.
120. Le Consolant.
121. Le Brun.
122. Le Favorable.
123. Le Tremblotant.
124. Le Fouillant.
125. Le Chauffant.
126. L’Attendant.
127. L’Esventant.
128. Le Resistant.
129. Le Meilleurant.
130. Le Contrastant.
131. L’Estreignant.p
132. L’Esmollisant.
133. L’ Excellent.
134. Le Gros.
135. Le Meslé.
136. Le Touché.
137. Le Suscitant.
138. Le Surpassant.
139. Le Medecinant.
140. Le Horsmenant, le Purgeant.
141. Le Raclant.
142. Le Contr’opposant.
143. Le Pourchassant.
144. Le Racinant.
145. Le plein fleurissant.
146. Le Dign’Estimé.
147. L’Aiguisant.
148. Le Flestrj.
149. L’Empeschant.
150. Le Jouissable. [10r]
151. Le Remplissant.
152. Le Joly.
153. Le Confortant.
154. L’Jdoine, Le Propre, Le Duit.
155. Le Bas.
156. Le Rouge.
157. Le Crespu.
158. Le Parfaict. L’Accomply.
159. Le Caché.
160. Le Lenissant.
161. Le Gras.
162. Le Secourable.
163. Le Divisant.
164. Le Commun.
165. Le Prenant.
166. Le Sincere. l’Entier.
167. Le Redressant.
168. Le Perseverable.
169. L’Ouvrant.
170. L’Esclairant.
171. Le Promouvant.
172. Le Stable.
173. Le Bleu. || [284]
174. Le Rougeastre.
175. L’Honnorable.
176. Le Rapportant.
177. Le Horspoussant.
178. Le Venant.
179. L’Engaillardissant.
180. Le Cuit.
181. Le Durcy.
182. Le Large.
183. Le Tresprecieux.
184. L’Amplifiant.
185. L’Aymant.
186. Le Noir.
187. Le Gardant.
188. Le Cher.
189. Le Parragon.
190. Le Joyeux.
191. L’Aigrelet.
192. L’Esclercissant.
193. L’Humble.
194. Le Blanc.
195. Le Fourrageant.
196. Le Dur.
197. Le Soulageant.
198. Le Digne.
199. Le Noble.
200. Le Couronné.
201. Le Repaissent.
202. L’Accroissant.
203. Le Premier.
204. L’Attrayant.
205. Le Becquetant.
206. Le Desserant.
207. L’Apparenté.
208. Le Prevenant.
290. Le Renouvellant.
210. Le Salineux.
211. Le Separant.
212. L’Effaçant.
213. Le Doré.
214. Le Distraict.
215. L’Ostant.
216. Le Menuisant.
217. Le Bigarré.
218. Le Desemplissant.
219. Le Sauvant.
220. L’Advançant.
221. Le Vuidant.
222. Le Tenant.
223. L’Ouvert.
224. Le Demeurant.
225. Le Brunastre.
226. Le Desliant.
227. L’Affranchissant.
228. Le Consistant.
229. Le Retenant.
230. L’Engardant.
231. Le Surprenant.
232. Le Souhaitté.
233. Le Mordant.
234. L’Aspre.
235. Le Posant.
236. L’Aigredoux.
237. Le Rude.
238. Le Poursuivant.
239. Le Clarifiant.
240. Le Diligent.
241. L’Amoureux.
242. Le Proufaisant.
243. L’Exquis.
244. Le Nageant.
245. Le Fort.
246. Le Donnant.
247. Le Pompeux.
248. Le Dissipant.
249. Le Parcreu.
250. Le Resplendissant.
251. Le Saoulant.
252. Le Plat.
253. Le Ferme.
254. Le Rajeunissant.
255. Le Prisé.
256. Le Consumant.
257. L’Jmportant
258. Le Maistrisant.
259. Le Certain.
260. Le Serviable.
261. Le Bienfaisant.
262. L’Assistant.
263. L’Jmposé.
264. Le Preservant.
265. L’Esgal.
266. L’Extrahant.
267. Le Loyal.
268. Le Mollifiant, L’Attendrissant.
269. Le Tresbeau.
270. Le Mouillé.
271. L’Amendant.
272. Le Deshasardeux, L’Asseuré.
273. L’Embrassant.
274. L’Ardant.
275. Le Rouge Brun.
276. Le Sanant.q
277. Le Magnifique.
278. L’Adorné.r
279. Le Simple.s
280. Le Recerché.
281. Le Respectable.
282. Le Prompt.
283. Le Rouge jaune.t
284. Le Singulier.
285. Le Grasset.
286. Le Profitable.
287. L’Aigre.
288. Le Pur.
289. Le Digerant
290. Le Mesnageant.
291. Le Confit.
292. Le Noir brun.
293. Le Couvert.
294. Le Centfois double.
295. Le Croissant.
296. Le Signifiant.
297. Le Net.
298. Le Filassable.u
299. Le Fueillu à quatre.
300. Le Bien-plaisant [10v]
301. L’Enchassant, l’Effarouchant.
302. L’Jndustrieux.
303. Le Seichant.
304. Le Celant.
305. Le Reservant.
306. L’Appropriè.
307. L’Establissant.
308. Le Tres Excellent.
309. L’Usité.
310. Le Refaisant.
311. L’Heureux.
312. Le Deschargeant.
313. L’Apportant.
314. Le Sanable.v
315. L’Amoindrissant.
315. Le Perseverant.
317. L’Affectionné.w
318. L’Habile.x
319. Le Gentil.
320. Le Relevant.
321. L’acceptablé.
322. Le bien Savoureux.y
324. Le Combattant. || [285]
325. Le Poussant, Le Pressant, L’agitant.
326. L’Elegant, Le Brave, Le Magnifiqué.
327. L’anneantissant.
328. Le clairfaysant, ou clarifiant.
329. Le Supprimant.
330. Le Velu
331. L’Enchassant.
332. Le Refroidissant, ou Raffraischissant.
333. Le Delicat, ou tendré.
334. L’Jnsensible.
335. Le Lenient. ou addoucissant, ou Lenissant.
336. Le R’ouvrant. L’ouvrant, ou faysant ouverture.
337. Le Playsant. Le gaussant, rallegrant
338. Le Broyant. malen heißt: mouldré.
339. Le Pacifiqué. [11r]z

324 Der Bestreitende 324 Le Combatant
325 Der Treibende 325 Le Pressant
326 Der Stadliche  326 Le Brave
327 Der Zernichtende 327 L’Anneantissant
328 Der Erhellende  328 Le Clair-faisant
329 Der Niederdrückende 329 Le Supprimant
330 Der Rauche 330 Le Velu
331 Der Eintreibende 331 L’Enchassant
332 Der Abkühlende 332 Le Refroidissant
333 Der Zarte 333 Le Tendre
334 Der Vnempfindliche  334 L’Jnsensible
335 Der Senftigende  335 Le Lenient
336 Der Eröfnende 336 Le Dissoudrant
337 Der Kurtzweilige   337 Le Plaisant
338 Der Zermalende  338 Le Moudrant
339 Der Friedfertige 339 Le Pacifique
340 Der Zunehmende  340 L’Augmentant
341 Der Mäßigende  341 Le Temperant
342 Der Richtigste  342 Le Tresjuste
343 Der Einrichtende 343 Le Redressant
344 Der Stoßende  344 Le Poussant
345 Der Setzende  345 Le Remettant
346 Der Versorgende 346 Le Pourvoyant
347 Der Gültige 347 Le Valable
348 Deraa Bindende 348 Le Liant
349 Der Feurige  349 Le Fougueux
350 Der Graue  350 Le Gris
351 Der Unbetrigliche 351 L’Jnfaillible
352 Der Kurtze 352 Le Court
353 Der Aufweckende 353 L’Esveillant

Textapparat
T
a Folgt gestrichenes Wort.
b Ersetzt <que>
c Folgt gestrichenes Wort.
d Folgt ein verblaßtes, eingefügtes Wort [bonnes?].
e Eingefügt n’
f Gestrichener Wortteil vor ayant
g Wort durch Tintenklecks auf erster Silbe teilweise verdeckt.
h Folgt gestrichenes Wort.

T I
a Seitentitel ab Bl. 9v Les Noms Accademiques.
b Ch L’Enfarinè.
c Ch Le Liquidé.
d Ch Parfumant.
e Ch Le mal Respectè.
f Ch Le Raffraischissant.
g Ch Le Fort et Fermé.
h Ch L’Herissant.
i Eingefügt Buchstabe u
j Ch L’Aigret
k Ch Le Pressè
l Ch Le Provoqvant.
m Ch L’inpassablé
n Ch Le Bingeolin
o Ch L’Assaisonné.
p Eingefügt Buchstabe r
q Ch Le Salutairé.
r Ch L’Ornè ou parè.
s Ch L’Uniqué.
t Ch Rouxjauné
u Ch Fisselant.
v Ch Le Salubré.
w Ende || [286] der Schreiberh.
x Ab hier Ch.
y Nr. 323 fehlt. Hans Albrecht v. Halck (FG 323. Der Wohlschmeckende. Le bien Savoureux) wurde unter der Nr. 322 vermerkt. In der vorliegenden Mitgliederliste fehlt somit F. Johann Georg II. v. Anhalt-Dessau (FG 322. Der Gefüllte. L’Emply).
z Ch endet. Folgt Schreiberh.
aa Folgt <der>

Kommentar

K
1 F. Ludwig: Tamerlan (1639). Vgl. 390901 K 4.
2 [Jan de Laet]: DE IMPERIO MAGNI MOGOLIS, Sive INDIA VERA Commentarius. E varijs auctoribus congestus Cum Privilegio (Lugduni Batavorum 1631: Ex officina Elzeviriana). Vgl. 390929, 391100 u. 391125, ferner Conermann: Ludwig und Christian II. von Anhalt, 468f. Die Großmogule gelten damals wie heute als kulturelle Erben des großen Tamerlan (Timuriden), s. auch Thomas W. Lentz, Glenn D. Lowry: Timur and the princely vision: Persian Art and Culture in the Fifteenth Century. Los Angeles 1989, 303ff. („The Timurid Resonance“).
3 Sir Thomas Roe (1581?–1644), damals in Hamburg niedergelassener engl. Diplomat, s. 330603 K 1, 380616 K 9, 390929 u. ö.; Pufendorf: Kriegs-Geschichte, 11. Buch, 514f., 516 u. 561f. Er hatte Anfang 1615 England verlassen, hielt sich zwischen 1616 und September 1618 als brit. Gesandter am Hof des Großmoguls Jahanghir (1569–1627; Empfang Roes am 10. 1. 1616) auf und unterhielt sehr positive Beziehungen zum Hof, der seit 1605 von Jahanghir regiert, ab 1611 aufgrund der Eheschließung Jahanghirs mit Nur Jahan – folgt man der Sichtweise der gängigen Geschichtsschreibung – von seiner Gattin und deren Familie dominiert wurde. Vgl. Ellison Banks Findly: Nur Jahan: Empress of Mughal India. Delhi 1993 (dort, passim, auch ausführlich zum Gesandten Thomas Roe). Dagegen spricht Lefèvre Nur Jahan und ihrer Familie eine zwar „crucial – yet subordinate role as intermediaries“ zu: Corinne Lefèvre: Recovering a missing voice from Mughal India: The Imperial discourse of Jahangir (R. 1605–1627) in his memoirs. In: Journal of the economic and social history of the Orient 50 (2007) H. 4, S. 452–489; Ebba Koch: Mughal Art and Imperial Ideology. Collected Essays. New Delhi 2001. — Die Reise Roes diente vorrangig wirtschaftspolitischen Interessen. Er war der erste europ. Gesandte am Mogulhof und erhielt durch sein geschicktes Auftreten bald die Erlaubnis, in den Städten Surat in Gujerat und Masulipatam (bei Madras, Südindien) Faktoreien zu errichten. Daß er an dem Bild des politisch schwachen Herrschers Jahanghir seinen Anteil hatte, soll nicht unerwähnt bleiben. Profitiert hat Roe von dem an (Gemälde-)Kunst, Wissenschaft (Flora, Fauna, Mineralien) und Literatur außerordentlich interessierten und sammelbegeisterten Jahanghir durchaus. Roe machte den Großmogul einerseits mit engl. Kunst bekannt, so mit engl. „miniatures“ seiner Familie und seiner Freunde, brachte von den Reisen andererseits viele Gemälde, besonders solche, die von brit. Einflüssen zeugten, mit nach England. Erinnert werden sollte auch an die stattliche Bibliothek des Vaters Jahanghirs, Akbar, die 24.000 Bände umfaßte und die vom Sohn noch beträchtlich erweitert wurde. Vgl. The New Encyclopaedia Britannica X (2002), 134; Milo Cleveland Beach: The Grand Mogul. Imperial Painting in India 1600–1660. Williamstown/ Mass. 1978; The Emperors’ Album. Images of Mughal India. Catalog of an exhibition held at the Metropolitan Museum, Fall 1987. New York 1987; zu Roe besonders Gary M. Bell: A Handlist of British Diplomatic Representatives. London 1990, 212 u. passim; The Embassy of Sir Thomas Roe to India 1615–19. As Narrated in His Journal and Correspondence. Ed. by William Foster. New and rev. edition. New Delhi 1990; Journael van de Reysen ghedaen door den Er Heer en Ridder Sr Thomas Roe ... Afgevaerdicht naer Oostindien aen den Grooten Mogol, ... Nevent Verscheyde aenmerckens en ghedenckwaerdighe gheschiedenissen ... Uyt het Engles vertaalt ... [Amsterdam: Iacob Benjamin] 1656; Michael J. Brown: Itinerant Ambassador: The Life of Sir Thomas Roe. Lexington 1970;Michael Strachan: Sir Thomas Roe 1581–1644. A Life. Salisbury 1989; in jüngster Zeit: Corinne Lefèvre: Pouvoir et noblesse dans l’empire moghol. Perspectives du règne de Jahāngīr (1605–1627). In: Annales 62 (2007) 6, 1287–1312; E. A. || [287] Beller: the Mission of Sir Thomas Roe to the Conference at Hamburg, 1638–1640. In: The English Historical Review XLI (1926), 61–77; Alexander Schunka: Böhmen am Bosporus. Migrationserfahrung und konfessionspolitische Kommunikation im frühen 17. Jahrhundert am Beispiel des Grafen Heinrich Matthias von Thurn. In: Migrationserfahrungen – Migrationsstrukturen. Hg. Eckart Olshausen u. Alexander Schunka. Stuttgart (im Druck).
4 Diese Abschrift der ins Französische übersetzten Gesellschaftsnamen ist nicht erhalten. S. aber Beil. I. Vgl. zu den Mitgliederlisten K I 0. Zum Begriff „Accademiques“ für FG-Mitglieder s. 390814 K 4.
5 Martin Opitz v. Boberfeld (FG 200) starb am 20. 8. 1639 in Danzig an der Pest und wurde am 22. 8. 1639 in der dortigen Marienkirche begraben. Es ist denkbar, daß noch vor Innhausen Robert Roberthin F. Ludwig indirekt von Opitz’ Tod unterrichtet hat. Er schickte eine von Johannes Mochinger in großer Eile gesammelte und herausgegebene, von Opitz’ Danziger Verleger und Drucker Andreas Hünefeldt zur Bestattung des Dichters veröffentlichte Gedenkschrift (mit Gedichten) zusammen mit Hünefeldts Sterbebericht in einem Brief an Christian v. Hardesheim (Herdesianus). Die Gedenkschrift trägt seine handschriftliche Widmung „Viro Excellentissimo Dn. Herdesiano Bernb. Anha[lt.] mittit R. R.“ Dieses Exemplar befindet sich im Köthener Erzschrein (HM Köthen: V S 544, Bl. 306 [ohne weitere archivalische Foliierung]–308v): FAMAE | MARTINI OPITII | SECRETARII ET HISTORIO- | GRAPHI REGII | QUI | ANNO M DC XXXIX DIE XX AUG. | HIC GEDANI | MORTALITATEM EXPLEVIT | MORI NESCIÆ | IPSO EXEQUIALI DIE | TERTIO AB OBITV CHRISTI- | ANO ACCLAMANDI CAVSSA | PUBLICATVM. | á | N. R. [Ps. Joh. Mochinger] | [Linie] | TYPIS HVNEFELDIANIS, | ANNO M. DC. XXXIX. Die Kürzel des Namens Roberthins sind von späterer Hand — vielleicht der des Köthener Bibliothekars Gottlieb Krause — als „Robert Roberthin“ aufgelöst worden. Diese Trauerschrift und Roberthins Brief veröffentlicht in Opitz: BW 390822B rel bzw. 390822C rel. Wie aus dem undatierten Brief Roberthins an Herdesianus hervorgeht, ist die Gedichtsammlung auf Roberthins Wunsch an F. Ludwig v. Anhalt-Köthen weitergeleitet worden: „[...] beÿliegend hatt der H zu empfahen waß mir annoch zur Zeit Hn Opitzen seel. parentation betreffend zu handen kommen, [...] Opitius seel gedenckt sonst in seinem lezlich an tag gegebenen Rhythmo de S. Annone einer Fürstlichen person die etwas in seinem Psalter erinnert, welches Jhr Fürstl. Gn. Fürst Ludwig seÿn, dem er mir ebenvnder materij mündlich gedachte, sonst habe ich ex privatis literis Andreae Hünefelds des Buchführers dieses: den 15 Augusti [...].“ S. Opitz: BW 390822C rel; KE, 138f. (Originalbrief Roberthins mit dem nachfolgenden Bericht Andreas Hünefeldts über Opitz’ Sterben ebenfalls in HM Köthen: V S 544, Bl. 303r‒304v). Roberthin erwähnt Opitz’ philologische Ausgabe des Annolieds, Opitz: Anno (1639) (s. 390121A K 5), und die „Erinnerungen“ F. Ludwigs zu Opitz: Psalmen (1639). S. 380828 I.
6 Krzysztof Korwin Gosiewsky († 1643), seit 1638 großlitauischer Referendarius und seit 1639 Palatin v. Smolensk, war nach Ostern 1639 vom poln. Hof aufgebrochen, verließ Danzig am 15./25. 8. und wurde in Paris im September 1639 erwartet, reiste aber mit großem Gefolge über Flandern zunächst nach England, so daß er erst am 17. 1. 1640 n. St. in St. Denis anlangte. Grotius: Briefwisseling X, 215, 387, 543, 621 u. 847. Vgl. 390822 K 26.
7 Kg. Wladislaus IV. Sigismund v. Polen.
8 Der Prinz, der spätere poln. Kg. Johannes II. Casimir (1609–1672), war auf dem Wege nach Portugal (um dort Vizekönig zu werden) von den Franzosen gefangen worden. Seit September 1639 in Bois de Vicennes bei Paris arretiert, hoffte er auf einen Austausch gegen Pgf. Ruprecht v. Simmern, der seit Oktober 1638 in ksl. Gewahrsam war, vgl. 390822. (Robert Sidney Earl of Leicester traf im September als brit. Gesandter in Paris zur Verhandlung über den Austausch ein.) Der Palatin von Smolensk erreichte 1640 Pz. Johannes Casimirs Freilassung. Vgl. auch 390822 K 25ff.
9 Kg. Christian IV. v. Dänemark. Vgl. die Falschmeldung über die Erkrankung in 390814. || [288]
10 Gf. Otto V. v. Holstein-Schaumburg (FG 198. Der Werte/ Le Digne), den sein Kanzler Anthon v. Wietersheim (FG 273) im Stich ließ. Vgl. Conermann III, 303ff.; Werner Bentrup: Wietersheim — von Wietersheim. In: Schaumburg-Lippische Mitteilungen 31 (1995), 9–20, 14f. Bereits zu dieser Zeit deuten sich die Ansprüche verschiedener Lehensherren, hier des dän. Königs, auf die Gft. Holstein-Pinneberg an, den letzten Rest einstmals umfangreichen Besitzes der Schaumburger in Holstein. Nachdem Gf. Otto, der letzte Graf v. Holstein-Schaumburg, am 15. 11. 1640 ohne Leibeserben verstorben war, verschärfte sich der Streit, und auch das gfl.-schaumburg. Erbe wurde von den Interessenten Braunschweig-Calenberg, Stift Minden, Hessen-Kassel und Lippe beansprucht und aufgeteilt, s. 401204 K 6 u. 7 sowie Beil. I. In den Akten des Bestandes HAB: Cod. Guelf. 87.14 Extrav.: Materialien zur Geschichte der Gft. Schaumburg (bis Anfang 17. Jh.; vormaliger Besitzer A. v. Wietersheim, der auf den Schriftstücken zahlreiche Marginalien hinterlassen hat) u. HAB: Cod. Guelf. 87.16–17 Extrav.: Materialien zur Geschichte der Gft. Schaumburg (1. Hälfte 17. Jh., 1 Schreiber. Akten zur Gesch. der Gft. Schaumburg und der Herrschaft Holstein-Pinneberg 1617–19) befinden sich keine für den Zusammenhang relevanten Schriftstücke.
11 Gfn. Hedwig, geb. Lgfn. v. Hessen-Kassel (1569–1644), Witwe Gf. (F.) Ernsts v. Holstein-Schaumburg (1569–1622), der ihr 1597 in ihrem Ehevertrag die Gft. Holstein-Pinneberg als Leibgeding/ Wittum verschrieben hatte. Vgl. Fürst Ernst, Graf von Holstein-Schaumburg. 1569–1622. Archivalienausstellung des Niedersächs. Staatsarchivs in Bückeburg. Göttingen 1969, Nr. 9. Hedwig, deren Ehe kinderlos geblieben war, verbündete sich mit Lgfn. Amalia Elisabeth v. Hessen-Kassel, der sie die Ausfechtung der Besitz- und Erbstreitereien übertrug. Vgl. 370902 K 5 u. 390929 K 9.
12 Anthon v. Wietersheim (FG 273), s. Anm. 10 u. 370902 K 5. Seit 1633 gfl.-schaumburg. Kanzler. Durch Nichtzahlung seiner Besoldung war eine Schuldsumme aufgelaufen, die um 1637 bereits 26.000 Taler betrug und das Grafenhaus zum Schuldner des eigenen Kanzlers machte. Möglich, daß Wietersheim, der bereits in Diensten Hz. Friedrichs III. v. Schleswig-Holstein-Gottorp (FG 388) stand, seine Forderungen an die gfl. Witwe Hedwig (s. Anm. 11) abtrat. Vgl. Conermann III, 303f.; Werner Bentrup: Wietersheim — von Wietersheim (s. Anm. 10), hier 14.
13 Fn. Sophia v. Anhalt-Köthen (AL 1629. TG 38), geb. Gfn. zur Lippe, Gemahlin F. Ludwigs in dessen zweiter Ehe.
14 Ffr. Anna Maria v. Innhausen u. Knyphausen, geb. v. Amelunxen.
15 Jon L. Lilliesparre (1595‒1641); seit 1632 schwed. Oberst, seit 1635 Kommandant in Wismar. SBL XXIII, 136f. Zu Anfang des Jahres 1639 war es Johan Banér (FG 222) nicht gelungen, bei seinem Vorstoß nach Süden Dömitz einzunehmen. Er mußte es im Rücken liegen lassen und setzte bei Lauenburg über die Elbe (vgl. 390504 K 3; Pufendorf: Kriegs-Geschichte, 11. Buch, 486f.). Jetzt sollte ein erneuter Eroberungsversuch gewagt werden. Pufendorf: De Rebus Suecicis, 366: „Dœmitzam hinc tentare visum, majoris operæ negotium, vastata circum regione, ac difficili machinarum vectura. Eo demum Lilliesparrius bis mille pedites, quingentos equites ducebat, ac post occupatam insulam ad oppidum, à trecentis quinquaginta peditibus defensum, accessus moliebatur, quod & repentino assultu expugnat, sex tantum suorum desideratis. Hostis ædibus aliquot incensis in arcem se recipiebat; cui itidem vis admovebatur, cum de Brandeburgicorum ac saxonicorum adventu, qui arci subventum ibant, intelligitur. Ad quos arcendos etsi iste sat virium habebat; tamen nullo annonæ provisu famem ab hoste circumfuso metuens, soluto obsidio discedit.“ Zusammenfassend Merian: Topographia Saxoniae Inferioris, 77: „An. 1639 legte sich obgedachter FeldMarschall Banner abermals vor Dömitz/ beschosse es/ zog aber/ weil sich der Commendant darinn nicht ergeben wolte/ wiederumb ab/ vnd hielte den Ort eine Zeitlang blocquirt. Das folgende 40. Jahr/ ward diese Vestung auß Hamburg proviantirt/ welches die Schwedischen/ über allen angewändten Fleiß/ nicht hindern konten.“
16 Kf. Maximilian I. v. Bayern. || [289]
17 Nach dem Tode Hz. Bernhards v. Sachsen-Weimar (FG 30) am 8./18. 7. 1639 gewann die Krone Frankreich (Kg. Ludwig XIII.) als Bündnispartner und Subsidiengeber, jedoch gegen den Willen des Herzogs, die Kontrolle über sein Heer und seine Haupteroberung Breisach. Vgl. bereits 390800 K 2 u. 390807A K 3. Der französ. Feldmarschall Jean-Baptiste Budes comte de Guébriant besetzte Breisach und unterstellte alle dortigen Soldaten seinem Befehl. Er bestach Bernhards Kommissare, die das Testament des Verstorbenen vollstrecken sollten, mit Geldern, die Henri II. d’Orleans duc de Longueville in Colmar bereithielt. Grotius: Briefwisseling X, 609 u. ö. Die Verträge von Colmar und Breisach (s. 390800 K 2) reklamierten das Recht des französ. Königs, einen Gouverneur für die Stadt zu ernennen und ordneten das Heer Bernhards endgültig und zum Mißfallen der Schweden der Krone Frankreich unter. Vgl. Der dreißigjährige Krieg im Elsaß ... Hg. A. Scherlen. Bd. 3. Mülhausen (Ober-Elsaß) 1928, 365f. u. Günther Haselier: Geschichte der Stadt Breisach am Rhein, Bd. 1. Breisach 1969, 376f. S. auch AOSB SA VI, 662 (Brief Johan Banérs an Axel Oxenstierna [FG 234] vom 21. 9. 1639: „Und wehre wohl hohe zeit, wofern die franzosen nicht albereit ihr spiel zum ende geführet, und die sache noch redressibel wehre, dass von Ihr Königl. may:tt ein bestendtiges heubt von qualitet und authoritet, auch sinceren affection gegen dieselbe und dero gerechten sache, auff dessen treu auch Ihr Königl. May:tt sich zu verlassen, do eines vorhanden, ohne seumnis dahin geordnet werden möchte.“ Zu den übrigen Bewerbern um die Nachfolge Bernhards gehörten sein Bruder Wilhelm IV. (FG 5), der Kurfürst-Prätendent Karl Ludwig v. Pfalz-Simmern (vgl. 390929) und die schwed. Krone. Vgl. Grotius: Briefwisseling X, 605 (Grotius an Greve Axel Oxenstierna, 17. 9. 1639 n. St.): „Perstant adhuc, ut literis doceor, in eo Vinarienses milites, ut neque Brissacum tradere regi [Kg. v. Frankreich] velint neque Longavillani [Henri II. d’Orléans duc de Longueville] imperium agnoscere. Neque tamen quae ipsis per Badensem marchionem [Mgf. Friedrich V. v. Baden-Durlach, FG 207] et Paulium [Georg Friedrich v. Pawel(-Rammingen) (FG 477?)] ab Anglia dantur spes, magni faciunt, quippe a regno sibi longinquo non admodum pecunioso et in consiliis nutante. Dux Wilhelmus Vinariensis an venire ad exercitum per caesarianos possit, an audeat bellum in imperatorem sumere, dubitatur merito; tum vero per illum nominis aliqua, virium nulla sit futura accessio. Quare plerisque optimum factu videtur conjungere se cum Königsmarckio [Gf. Hans Christoph v. Königsmarck (FG 515. 1648)], quando et ipsi Suedico adhuc se sacramento obligatos sentiant.“ Das französ. Heer unter Marschall Gaspard III. de Coligny duc de Châtillon, zu dem Mitte August Kg. Ludwig XIII. stieß (Documenta Bohemica VI, 323, vgl. 370805 K 15), war damals in Lothringen erfolgreich von Gf. Octavio Piccolomini d’Aragona (FG 356. 1641) im span. Auftrag bekämpft worden (Entsatz Diedenhofens am 7. 7. 1639 n. St.), jedoch war Piccolomini im August selbst vor Masmünster (Mouzon) gescheitert. Mitte August eroberten die Weimarer Landau und Germersheim, scheiterten jedoch vor Speyer und kehrten Ende des Monats ins Elsaß zurück. Scherlen, a. a. O., 362f.; Engelsüß (HAB: 441.19 Hist. [1]), 130ff.; Grotius: Briefwisseling X, 605. Vergeblich widerstrebte Piccolomini im September und Oktober dem Ruf des Kaisers, mit seinen Truppen gen Böhmen gegen Banérs schwed. Hauptstreitmacht zu ziehen und den Kardinalinfanten in Brüssel, Hz. Karl IV. v. Lothringen u. a. Verbündete im Stich zu lassen. Anfang Oktober marschierte er doch gen Böhmen. Ende Oktober/ Anfang November befürchtete Kf. Maximilian I. v. Bayern u. a. das Vorrücken der Weimarer zusammen mit den Franzosen über den Rhein und eine Vereinigung mit den Truppen Hessen-Kassels. Andererseits wußte Grotius am 2. 11. 1639 n. St. von der Vermutung, „quidam coniiciunt eum iunctis sibi Bavaris in Vinarienses reliquias moturum, [...].“ Schon am 17. 9. 1639 n. St., als die Kaiserlichen auf dem Hohentwiel, bei Offenburg und bei Freiburg saßen, erwartete Grotius (wie Innhausen) ein Eingreifen Maximilians: „Bavarus quominus tam vicinos habens hostiles exercitus duos militem imperatori mittat, satis habet causas.“ Damals standen die Bayern bei Philippsburg, hatten nach Piccolomini eine Chance einzugreifen und die befürchtete Vereinigung der Weimarer mit Königsmarck zu ver- || [290] hindern. Vgl. 390822; Documenta Bohemica VI, 322ff., 336f.; Grotius: Briefwisseling X, 602 u. 712.
18 Mgf. Siegmund v. Brandenburg (FG 308), der 1637 Vorverhandlungen zu einem Frieden mit den Schweden geführt hatte (370729 K 11), übernahm wieder einmal für Kf. Georg Wilhelm v. Brandenburg (FG 307) das Statthalteramt, diesmal in den brandenburg. Landen am Niederrhein. S. Conermann III, 348 u. zu Brandenburgs Territorien am Niederrhein 300410 K 16.
Ursprünglich hatte F. Ludwig (Der Nährende) Frh. Enno Wilhelm v. Innhausen u. Knyphausen (FG 238. Der Verfolgende) eine Liste der ersten 315 Mitglieder zugeschickt und ihn gebeten, deren Gesellschaftsnamen ins Französische zu übertragen, s. 371112A, vgl. 371117. In 380202 teilte der Fürst seinem Neffen F. Christian II. v. Anhalt-Bernburg (FG 51) mit, Innhausen habe die zugesagte Übersetzung der Gesellschaftsnamen als zu schwierig empfunden. Christian, der seinen Oheim um eine Mitgliederliste gebeten hatte (371211), möge die von F. Ludwig und Christian Ernst (v.) Knoch (FG 268) nach Innhausens Absage binnen dreier Tage selbst durchgeführte Übertragung ins Französische prüfen. In 380423 schickte F. Ludwig Innhausen dann die Liste der französ. Gesellschaftsnamen (FG 1‒320) mit der Bitte, diese kritisch durchzusehen. Am 10. 6. 1638 sandte Ludwig dem Verfolgenden zusätzlich die Namen und Devisen neueingetretener Mitglieder (vgl. 380616, auch 391100). In 390814 bat der Fürst, Innhausen möge ihm eine Abschrift der französ. Liste zuschicken. Innhausen bestätigte in 391125, keine Fehler gefunden zu haben. — Die uns vorliegende Liste stellt also eine Abschrift der Übersetzung der Mitgliedernamen durch F. Ludwig und Knoch dar, wobei die nachgereichten Gesellschaftsnamen (FG 315‒316) bereits in der Übersetzung integriert sind. F. Christian verbesserte einige der übersetzten Namen bzw. stellte Übersetzungsvorschläge zur Überlegung. (S. den Textapparat). Vgl. in den Folgebänden unserer Edition die Übersetzungen der ersten 353 Mitgliedernamen (1641) sowie spätere, komplettierte Listen mit solchen Gesellschaftsnamen. S. auch die Übertragungen von Mitgliedernamen in Hille. Zu den Mitgliederlisten vgl. auch 390310, 390514, 390807, 390814, 391100, 391125 u. 401107 II. — Die Fortsetzung der Liste (FG 318‒339) enthält F. Christians eigene Übersetzungen der Namen von Mitgliedern, die in den Jahren 1638 und 1639 aufgenommen wurden. Hiermit bricht die im Besitz Christians befindliche Liste ab (Sommer 1639). Die kurze Zusammenstellung (Bl. 11r) der dt. u. französ. Mitgliedernamen wird nicht von ihm stammen. Sie überschneidet sich nämlich, beginnend mit FG 324 (1638) und endend mit FG 353 (1641), z. Tl. mit der Liste Christians. Auch macht Christian oft mehrfache bzw. abweichende Übersetzungsvorschläge. Die kurze Liste könnte im Zusammenhang mit der Komplettierung des 1641 mit dem 353. Mitglied abgeschlossenen GB 1641 stehen und dem Ziel gedient haben, dazu parallel die noch fehlenden Mitgliedernamen ins Französische zu übertragen, während Christians Liste noch von diesem Ziel entfernt war.
1 In der Biobibliographie von Conermann III lassen sich die Namen der Mitglieder in der Chronologie ihrer Aufnahme, nach den angegebenen FG-Nummern, auflösen.
Seite drucken

XML: http://diglib.hab.de/edoc/ed000218/briefe/390909.xml
XSLT: http://diglib.hab.de/edoc/ed000218/tei-transcript.xsl